Desventuras de un pobre en el mundo económico: la Economía ortodoxa y sus límites en el análisis de la pobreza y la propuesta de Amartya Sen
DOI :
https://doi.org/10.17533/udea.le.n60a4891Résumé
Este artículo utiliza una narración literaria para mostrar de qué manera la teoría ortodoxa o tradicional, especialmente el pensamiento de la escuela neoclásica, deja de lado el concepto de pobreza, al considerar el bienestar como la simple obtención de utilidades; además se presenta la propuesta del economista Amartya Sen, que postula la teoría de las capacidades humanas. Esta teoría establece como importante todo aquello que una persona es capaz de hacer o ser para conseguir sus objetivos y sus fines, permitiendo así, incluir y ampliar la visión de la pobreza. Al final se concluye que, a pesar de que la pobreza debe ser estudiada por la Economía, ésta se ha visto avocada a una imposibilidad de plantear soluciones para que aquella disminuya y, en gran medida, ello se debe a los limitantes que presenta la teoría ortodoxa.
Palabras clave: Pobreza, bienestar, capacidades, funcionamientos, libertad, derechos, marginalistas, neoclásicos, elección social. Clasificación JEL: BOO, D31, D60, 130, 131.
Abstract:
This article uses e Iiterary narration to show how the orthodox or traditional theory, specially the thought of the neoclassic school, leaves of side the poverty concept, when considering the welfare like the simple obtaining of utilities; in addition the proposal of the economist Amartya Sen is presented, who postulates the theory of the human capacities. This theory establishes like important everything what a person is able to make or be to obtain to her objectives and their aims, thus allowing, to include and to extend the vision of the poverty. In the end one concludes that, although the poverty must be studied by the Economy, this one has been claim an impossibility to raise solutions so that that diminishes and, to a great extent, it must to the restrictions that the orthodox theory presents.
Keywords: poverty, welfare, capacities, funtionements, freedom, rights, marginalist, neoclassic, social choice. JEL: BOO, D31, D60, 130, 131.
Resumé:
Cet article emploie un récit littéraire pour montrer la facon dont la théorie orthodoxe ou traditionnelle, et perticulièrement la pensée de l'école neoclassique, laisse de côté le concept de pauvreté, cer elle considère le bien-être comme étant la seule obtention des utilités; en outre on présente la pensée de l'économiste Amartya Sen, qui postule la théorie des capacités humaines. Cette théorie établit l'importance de tout ce qu'une personne peut faire ou peut être pour atteindre ses objectifs et ses buts, ce qui permet alors d'inclure et d'élargir la conception depauvreté. On conclut que, bien que la pauvreté doive être étudiée par l'économie, cette dernière n'a pas été capable de proposer des solutions pour que celle-ci diminue et, en grande partie, le problème est dû aux restrictions que la théorie orthodoxe présente .
Mots-clés: pauvreté, bien-être, capacités, fonctionnements, liberté, droits, marginaliste, neoclassiques, choix social.
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