*Partielle Koreferenz im Spanischen als Problem der Grammatik, Lehre und Übersetzung
DOI :
https://doi.org/10.17533/udea.ikala.6918Mots-clés :
oréférence partielle, espagnol, acceptabilité et grammaticalité, traduction, norme.Résumé
Objectif : analyser le rôle de la coréférence partielle en espagnol et en allemand depuis la perspective de la grammaire, de l'enseignement de langues étrangères et de la traductologie. Méthode: après une approche de la description de la coréférence partielle en tant que phénomène de langues en général, l'on analyse la coréférence partielle en espagnol, en tenant compte des tentatives antérieures de description et en déterminant les contextes et les structures dans lesquels cette construction est considérée comme grammaticale ou acceptable. Résultats: Après avoir expliqué les restrictions que présente la structure espagnole, l'on aborde la position adoptée par la norme espagnole. Conclusion: on explore l'importance de la structure et son traitement dans l'acquisition de l'espagnol, en linguistique contrastive et, particulièrement, en traduction.
Reçu: 02-12-08 / Accepté: 13-04-09
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Carsten, S.(2010).Partielle koreferenz im Spanischen als Problem der Grammatik, Lehre und Übersetzung. Íkala, 15(2), pp.103-139.
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(c) Tous droits réservés Íkala, Revista de Lenguaje y Cultura 2010
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